Rosina Sonnenschmidt présente dans cette conférence sa méthode de traitement spécifique très complète, l’homéopathie miasmatique, complétée par les très nombreuses autres possibilités des médecines naturelles. Avec l’objectif de réamorcer la vie du patient, sa santé, sa mobilité (aussi bien mentalement que corporellement), la vitalité et l’organisme sont mis au défi de retrouver un équilibre par petites étapes. Parallèlement à l’administration de remèdes homéopathiques, huile ozonée, etc. elle accorde une grande valeur aux changements de mode de vie – pas seulement dans le domaine alimentaire mais également et surtout à travers la redécouverte et l’activation des potentiels intérieurs de l’homme.

Son premier patient, à présent guéri (burn-out, rhumatisme, atrophie musculaire, antécédents de maladie de Lyme) se tient avec elle sur scène et lit ses poèmes. Ecrire faisait partie de sa thérapie afin de retrouver sa créativité. Le processus parcouru par le patient se déploie ainsi de façon très parlante sous les yeux et aux oreilles des auditeurs, pièce par pièce, jusqu’à sa récupération complète – en alternance avec des explications sur le traitement par Rosina Sonnenschmidt. De nombreux remèdes homéopathique sont entrés en jeu (Syph., Merc., Carc., Thuja, Puls., Calc-p., Uran-n., Germ-met., Oxyu-m., Cortiso., Arg-am., Lut-f., Inachis io...).

Pour le 2ème cas maladie de Lymeet atrophie musculaire accompagnées d’une démence précoce – les remèdes indiqués étaient Aur., le nosode de la maladie de Lyme, Cortiso., Lyc. et Sulph. – elle discute également du lien qu’elle a pu observer entre la maladie de Lyme et le miasme scrofuleux et explique l’importance de la sycose dans le traitement miasmatique.

La réussite du traitement d’un enfant de 7 ans qui n’avait jusqu’alors jamais été vacciné et qui après six vaccins a subi de graves déficiences est particulièrement touchante : en raison de la spasticité survenue et d’autres effets secondaires, le jeune garçon n’était plus capable de parler, de se tenir debout ou assis et ne pouvait plus maintenir sa tête. Après la prise de Thuja, complétée par une thérapie lumineuse et de la musique baroque, puis la prise de Lil-t. et Orig., Calc., Puls. et enfin Calc-p. – l’ensemble soutenu par d’autres traitements concomitants (il est également ici fait mention du contexte systémique) – le jeune garçon a appris de nouveau à marcher.

Des cas très parlants qui démontrent l’efficacité d’un traitement miasmatique en combinaison avec d’autres procédures de soutien.

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